on recherche des moines à Orval

Orval: une pénurie de moines qui menace la trappiste

Rédaction en ligne


La trappiste d’Orval est un produit qui s’arrache. Mais la communauté monastique qui brasse toujours la bière aujourd’hui est réduite à peau de chagrin. Alors que l’abbaye comptait encore 35 moines il y a 25 ans, il n’en reste plus que 12. Si un jour plus aucun moine n’est en activité à Orval, la bière perdrait son label « trappiste ». L’appel aux vocations est donc lancé…


Frère Bernard est inquiet, mais assure que la trappiste d’Orval n’est pas en danger immédiat.


«Évidemment que nous souhaitons voir de nouvelles personnes se présenter à nous, mais ça ne se trouve pas via des chasseurs de têtes…» Frère Bernard, 66 ans, est depuis plus de 40 ans moine cistercien à l’abbaye d’Orval. Durant ces quatre décennies, il a vu défiler un bon nombre de moines. «J’ai connu une époque où il y en avait encore 40 ou 45», précise-t-il. «Mais c’est sûr que la situation est différente aujourd’hui. Les vocations sont en baisse considérable, et certains monastères ont même dû fermer. Dans certaines abbayes, ce manque de moines peut devenir invivable. Mais tout dépend de la situation de chacun. À Orval, on parvient toutefois à s’adapter.»


De 35 à 40 collaborateurs

S’adapter, cela veut dire, notamment, faire appel à l’aide extérieure. «Aujourd’hui, 35 ou 40 personnes extérieures viennent nous aider à la brasserie. Cela dit, nous avons toujours fonctionné en collaboration avec l’extérieur, ce n’est pas neuf.» Ce qui est neuf par contre, c’est l’inquiétude générée par la pénurie de moines. «C’est sûr que, dans toute l’abbaye, on se pose des questions», poursuit frère Bernard. «Mais nous ne pouvons pas démarcher pour amener des candidats potentiels à l’abbaye. Nous ne pouvons qu’attendre que des personnes désireuses d’emprunter ce chemin de vie se présentent librement à l’abbaye. Nous accueillerons tous ces gens avec plaisir. Mais il ne faut pas se faire de fausses idées sur notre activité. Certains nous appellent en nous demandant où ils peuvent remplir le formulaire de candidature (rires). Mais ce n’est bien sûr pas comme ça que ça marche.»


J'ai bien une ch'tite idée sur qui cela pourrait intéresser    

article paru dans sudpresse.

 

J'ai peut être bu ma dernière il y a presque 2 mois alors...

Dans peu de temps on risque de lire un article sur les difficultés de recrutement rencontrées par BNP Paribas Fortis suite aux désistements causés par une subite vague de foi ...  

http://www.belgianbeercafetakapuna.co.nz

Allez voir la rubrique "drink"
je suis soulagé...

Patrick Massin a écrit:

Dans peu de temps on risque de lire un article sur les difficultés de recrutement rencontrées par BNP Paribas Fortis suite aux désistements causés par une subite vague de foi ...  

Orval et BNP machin-chose même combat ?

c'est vrai qu'il ne sont pas en manque de "liquidité" ni l'un ni l'autre ... ;-)

etinag a écrit:

Patrick Massin a écrit:

Dans peu de temps on risque de lire un article sur les difficultés de recrutement rencontrées par BNP Paribas Fortis suite aux désistements causés par une subite vague de foi ...  

Orval et BNP machin-chose même combat ?

c'est vrai qu'il ne sont pas en manque de "liquidité" ni l'un ni l'autre ... ;-)

Sauf erreur, il existe des adeptes de l'un et l'autre ... Le stade suivant, c'est de rouler sur une moto espagnole ...  

15$ l'Orval ça pique..

jonathan a écrit:

15$  l'Orval ça pique..

0.60 euro le dollar néo-zélandais ...  

9€
35€ le bac ici  

Content qu'on puisse en trouver ici    

Bon c'est la crise ici… ils n'arrivent plus à avoir d'Orval dans le bar que j'ai repéré...



J'ai du me rabattre sur autre chose   




Mais la bonne nouvelle, c'est que j'ai trouvé l'importateur

http://www.beercellar.co.nz/detail/BE1DB0T801N/Orval

       

Ouf !

J'ai cru un instant qu'on allait devoir revoir nos plans de trip en NZ.

On est sauvé.

Merci JackNZ   

De la St Feuillin, de l’Orval, de la Westmalle et de la Duvel ………………….. C’est bien , ils ont bon goût en NZ.